L’activité théâtrale à Arthez-de-Béarn remonte à une tradition plutôt lointaine.
Déjà dans les années 1940/1950 sous l’impulsion de l’abbé Discomps, curé de la paroisse durant plus de 20 ans, puis du Dr Maison, médecin et futur maire, furent jouées des pièces de niveau patronage, puis de plus en plus modernes. Ceci dans des conditions matérielles succinctes : petite salle au presbytère ou halle du marché. Mais acteurs et actrices étaient déjà présents et le public aussi !
Au début des années 60 sous l’impulsion d’un trio composé de Jean Lignacq, Jacques Lapoux et Raymond Lamugue, l’activité se structura et fut créée L’union Théâtrale des jeunes Amateurs (U.T.J.A). Assez rapidement toutefois, elle se transforma en Scéne Arthézienne, nom actuel de l’association.
Dès lors, ce qu’on appelait La Troupe fut une organisation véritable, composée d’actrices et d’acteurs, de metteurs en scène, d’un souffleur, de techniciens des décors ainsi que de techniciens son et lumière.
Les pièces jouées étaient de qualité, jouées sur les scènes nationales : Bichon, J’y suis j’y reste, Oscar, etc.
Des spectacles de cette époque, on peut retenir trois sommets.
- En juin 1964 devant la chapelle de Caubin et dans le cadre de la restauration de celle-ci fut jouée un drame de René Fauchois « La fille de Pilate » en plein air et devant plus de 500 spectateurs éblouis.
- En juin 1975, en ce même lieu, fut jouée « L’Arlésienne » devant une assistance aussi nombreuse et enthousiaste. Spectacle théâtral avec groupe de danseurs et cavaliers.
- En mai 1980, toujours en plein air, le groupe monte et interprète « Monserrat » d’Emmanuel Robles, un grand spectacle dramatique en costume.
C’est à partir de ce moment-là que La Scéne Arthézienne commencera à s’exporter et à aller jouer ses spectacles à l’extérieur.
Raymond Lamugue.
Déjà dans les années 1940/1950 sous l’impulsion de l’abbé Discomps, curé de la paroisse durant plus de 20 ans, puis du Dr Maison, médecin et futur maire, furent jouées des pièces de niveau patronage, puis de plus en plus modernes. Ceci dans des conditions matérielles succinctes : petite salle au presbytère ou halle du marché. Mais acteurs et actrices étaient déjà présents et le public aussi !
Au début des années 60 sous l’impulsion d’un trio composé de Jean Lignacq, Jacques Lapoux et Raymond Lamugue, l’activité se structura et fut créée L’union Théâtrale des jeunes Amateurs (U.T.J.A). Assez rapidement toutefois, elle se transforma en Scéne Arthézienne, nom actuel de l’association.
Dès lors, ce qu’on appelait La Troupe fut une organisation véritable, composée d’actrices et d’acteurs, de metteurs en scène, d’un souffleur, de techniciens des décors ainsi que de techniciens son et lumière.
Les pièces jouées étaient de qualité, jouées sur les scènes nationales : Bichon, J’y suis j’y reste, Oscar, etc.
Des spectacles de cette époque, on peut retenir trois sommets.
- En juin 1964 devant la chapelle de Caubin et dans le cadre de la restauration de celle-ci fut jouée un drame de René Fauchois « La fille de Pilate » en plein air et devant plus de 500 spectateurs éblouis.
- En juin 1975, en ce même lieu, fut jouée « L’Arlésienne » devant une assistance aussi nombreuse et enthousiaste. Spectacle théâtral avec groupe de danseurs et cavaliers.
- En mai 1980, toujours en plein air, le groupe monte et interprète « Monserrat » d’Emmanuel Robles, un grand spectacle dramatique en costume.
C’est à partir de ce moment-là que La Scéne Arthézienne commencera à s’exporter et à aller jouer ses spectacles à l’extérieur.
Raymond Lamugue.